À New York, en marge de l’Assemblée générale de l’ONU, les États-Unis et plusieurs partenaires internationaux – Égypte, France, Allemagne, Italie, Qatar, Arabie saoudite, Türkiye, Émirats arabes unis et Royaume-Uni – ont réaffirmé mardi leur engagement en faveur de l’unité, de la sécurité et de la prospérité de la Libye.
La réunion, présidée par Washington, a mis l’accent sur le soutien à la Mission d’appui des Nations unies en Libye (MANUL) et à ses efforts pour promouvoir une feuille de route politique inclusive, favorisant le dialogue entre les différentes factions libyennes. Les participants ont insisté sur l’importance d’une intégration sécuritaire entre l’est et l’ouest du pays afin de renforcer la stabilité régionale.
Le communiqué a également souligné le rôle des programmes conjoints de formation et d’assistance technique rendus possibles par la modification de l’embargo sur les armes de l’ONU en 2025, ainsi que la nécessité d’efforts coordonnés pour soutenir la stabilité économique, attirer les investissements et protéger les ressources nationales.
La Libye reste divisée entre deux administrations rivales : le gouvernement de Tripoli, dirigé par Abdul Hamid Dbeibeh, et l’administration de l’est, dirigée par Osama Hammad.
