Derrière les annonces d’un supposé coup d’État en Guinée-Bissau, deux scénarios se dessinent.
– Soit la menace est réelle, portée par un dirigeant prêt à tout pour ne pas reconnaître sa défaite.
– Soit c’est une ruse politique, une stratégie pour éviter la passation du pouvoir en invoquant un climat de crise.
Dans un pays habitué aux turbulences institutionnelles, ce flou entretient la méfiance et fragilise encore une fois le processus démocratique.
À suivre de très près.




