Le Maroc, l’Espagne et le Portugal co-accueilleront la Coupe du monde 2030, un projet qui illustre, selon le chef du gouvernement marocain Aziz Akhannouch, un modèle de coopération euro-méditerranéenne et ouvre de nouvelles perspectives pour les grands événements mondiaux.
Depuis la tribune de la 80ᵉ Assemblée générale de l’ONU à New York, Akhannouch a affirmé que ce partenariat planétaire reflète la capacité du Maroc, sous l’impulsion du roi Mohammed VI, à porter des initiatives d’envergure internationale et à valoriser l’Afrique sur la scène mondiale.
Le chef du gouvernement a souligné que l’organisation de la compétition la plus suivie au monde démontre le savoir-faire marocain en infrastructures et compétences. « Le Royaume, fidèle à sa vocation africaine et internationale, entend faire de cet événement une vitrine du dynamisme du continent et de sa contribution à la scène mondiale », a-t-il déclaré.
Akhannouch a également insisté sur le rôle stratégique du sport comme vecteur de diplomatie culturelle, d’intégration sociale et de dialogue interculturel. Pour lui, la Coupe du monde 2030 ne sera pas seulement un événement sportif, mais aussi un catalyseur de développement socio-économique durable.
Il a rappelé les investissements réalisés par le Maroc dans la modernisation des infrastructures sportives et de transport, inscrits dans une vision portée par le roi Mohammed VI, plaçant le pays parmi les rares capables de relever un défi logistique de cette ampleur.
Au-delà des aspects sportifs, le partenariat avec l’Espagne et le Portugal incarne un modèle de coopération internationale, euro-méditerranéenne, et ouvre de nouvelles perspectives pour l’organisation future de grands événements mondiaux.
« La Coupe du monde 2030 constituera un héritage pour l’Afrique et pour la jeunesse marocaine. Elle renforcera l’image d’un Maroc stable, ouvert et tourné vers l’avenir », a conclu Akhannouch.
