L’Égypte et la Jordanie ont catégoriquement condamné les frappes aériennes israéliennes en Syrie, les qualifiant de violation du droit international et d’atteinte à la souveraineté syrienne. Les deux pays ont exprimé leur solidarité avec la Syrie, appelant la communauté internationale à contraindre Israël à cesser ses attaques contre la souveraineté syrienne.
Les frappes ont visé des sites à Damas, Hama, et Homs, et ont été suivies d’une offensive terrestre à Deraa, dans le sud de la Syrie. L’armée israélienne a justifié ces frappes en affirmant qu’elles visaient des infrastructures militaires, y compris des bases aériennes et des systèmes de défense.
En outre, l’extension de l’occupation israélienne du plateau du Golan après la chute du régime de Bachar al-Assad a été dénoncée comme une violation de l’accord de désengagement de 1974 entre Israël et la Syrie.